NOUVELLE *FARCE* A LA PRESCRIPTION, DE *L'AVOCAT ESCROC ''Regis Briere'' de la S.C.P. *CAPORAL,BRIERE,COSMIDIS*, domiciliée 5 rue FRANCOIS PONSARD à PARIS, JE VIENS DE *découvrir* : MALGRE NOS MULTIPLES DEMANDES DE FAIRE exécuter LA DECISION DE LA COUR D'APPEL D'AIX EN PROVENCE DU 31 JANVIER 1991 ordonnant définitivement LA SARL L.S.T. AU PASSIF DE LA SARL PRODUIJAMS, POUR LA SOMME DE 812.659,65 NOUVEAUX FRANCS de L'EPOQUE A TITRE *GIOGRAPHAIRE*, ma société commerciale AYANT été MISE EN LIQUIDATION JUDICIAIRE POUR A PEU près LA MEME SOMME POUR DES impôts société JUSQU'EN 1998, alors QUE JE FUS SAISI LE 18 JANVIER 1981 et que depuis cette date la SARL L.S.T. n'avait plus d'activité - Je n'ai eu de cesse de réclamer à mon ex-avocat Regis BRIERE (plus salaud impossible dans le role d'avocat), d'assigner la société PRODUIJAMS - Mon ex-avocat Régis BRIERE s'est abstenu DE FAIRE EXECUTER L'ARRET rendu le 31 JANVIER 1991 PAR la 8EME CHAMBRE CIVILE DE LA COUR D'APPEL D'AIX EN PROVENCE - Je découvrirais la forfaiture de mon avocat maître Michel FRANCO se joignant à maître Maurice RICHAUTOT pour assigner L'ADMINISTRATION DES DOUANES en faveur de la SARL PRODUIJAMS, faisant bénéficier d'importantes indemnités la SARL PRODUIJAMS ainsi qu'une indemnité personnelle pour son gérant Roger ANSELEM - Maître Michel FRANCO et maître Maurice RICHAUTOT se sont appuyés sur mon combat et celui de mon comité de soutien, pour défendre LA SOCIETE PRODUIJAMS ET SON GERANT ROGER ANSELEM, un combat de plusieurs décennies, après que la SARL PRODUIJAMS et son gérant , Roger ANSELEM aient assigné devant le T.G.I de MARSEILLE MA SOCIETE L.S.T., en s'appuyant sur le PROCES VERBAL DE SAISIE DES ENQUETES DOUANIERES DE LYON, QUI M'ACCUSAIT de fausse déclaration d'espèce au dédouanement, tout les corps constitués se taisent ils savent que les faux et usages de faux furent mis en place sur ordre du ministre du budget Maurice PAPON; Raymond BARRE et de Valerie Giscard d'ESTAING - Le haut fonctionnaire P.DANNET avec la complicité de Pierre JOXE et de DEGA secrétaire national des P.T.T, chargé de faire exécuter les saisie en remontant du Directeur général des Douanes à Paris Me CREBASSARD, par le relais des ENQUETES douanières de Paris et LYON, après avoir ordonné au directeur général des Douanes à Dijon Georget PAUL, d'autoriser le dédouanement en usant d'une FAUSSE MICROFICHE douanière qui n'a jamais existé dans le code des douanes en faisant participer dans la magouille mon TRANSITAIRE Me MAILLET, L'INSPECTEUR et LE RECEVEUR des douanes à MACON qui ont autorisé le dédouanement, inculpés par la suite pour faux en écriture publique (une belle équipe de faussaires) UNE SITUATION qui se perpétue encore aujourd'hui, cachée à l'opinion publique SOUS TOUS LES GOUVERNEMENTS QUI S'EN SONT SUIVIS(A la lecture de ce blog vous conviendrez que le monde politicard et les avocats sont bien au dessus des lois) ce que confirmait Michel MAUROIS à la télé A2, en déclarant: ''l'autorité POLITIQUE doit s'imposer sur l'autorité de la *LOI''.
Un clique à mon message:
(1) SYSTÈME ET DESPOTISME
Liberté d'entreprendre; libre
concurrence; libre expression
et indépendance de la justice.
(le cul d'adèle)
JUSTICE CORROMPUE
PREUVE: Les avocats escrocs sont au
dessus des lois, par la corruption à quelques exceptions, des magistrats du siège et du
premier président de la cour d'appel à Paris, nommé CASTEL, n'hésitant pas à rendre un
décision en faveur de l'escroc Régis BRIERE, malgré l'arrêt du Conseil de discipline
ci-dessus et de la décision du Bâtonnier de
Paris Jean René FARTOUAT, (remplacé en
huit jours, par la muette Christine PERAL
SCHUL) d'avoir d'une part à me restituer
les honoraires versées et à me retourner mes
dossiers, auquel s'est constamment refusé mon ex-avocat véreux et la SCP:
*CAPORAL, Brière, COSMIDIS*,
craignant
que je ne découvre de nouveaux lièvres dans
les procédures ou je fus accusé d'homicide
en la personne de Me Bernard FATIEN
alors que ce fut une tentative d'assassinat
à mon encontre ordonnée par le Président
de la république François Mitterrand, dont je
fus informé 15 jours plutôt par François,
PATRIAT, et dans le procès devant la Cour d'assise de l'Aude.
J'avais téléphoné à la secrétaire du
Premier Président CASTEL, pour
demander de me le passer au téléphone
devant son refus et sa demande du pourquoi?
j'ai répondu dites lui que c'est un corrompu
et un ''En.....'', et il le sait!
(Voir Mémoire Personnel partie 1 et 2)
Voir ci-dessous l'arrêt de la cour de cassation me^me sort et même esprit de corruption.
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